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France-Galop en visite à l'Hippodrome
Les obstacles de l'hippodrome sont suivis par France-Galop, l'autorité de Tutelle. David Aelion, Responsable des Régions,Tristan Leroyer, chargé de mission à France-Galop étaient assistés de Philippe Cottin, représentant les entraîneurs, et Hervé de Freslon, vice président de la Fédération des courses de l'Ouest. En présence des membres du Bureau de la société des courses, ils ont inspecté la totalité des obstacles donnant leur point de vue sur des améliorations toujours possibles des obstacles après un usage qui les met à rude épreuve sur une saison. Globalement, peu d'améliorations seront nécessaires. Bien entendu, les dirigeants locaux ont écouté avec attention les suggestions préconisées et vont apporter quelques retouches évoquées en concertation avec les représentants de France Galop et des Professionnels. Les visiteurs ont également apprécié la remise en état des pistes qui avaient souffert des intempéries lors des deux dernières journées de courses.
David Aelion (premier, à droite), Philippe Cottin (troisième), Hervé de Freslon ( au centre) et Tristan Leroyer (dernier, à gauche) en compagnie des dirigants locaux
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Un quatrième quinté pour Ru de l’Airou
Les petits rus peuvent faire les rivières … de diamants. Le protégé d’Alain Besnard vient d’agrémenter son palmarès par un quatrième succès dans le quinté disputé, samedi, à Vincennes.
Incontestablement, Ru de l’Airou comble son propriétaire, par ailleurs maire de La Landec près de Dinan. Il est un peu le chouchou des turfistes locaux qui l’apprécient à sa juste valeur. Bien entendu, ses états de service lui ont fait prendre ses distances avec la province. Mais on a encore en souvenir sa victoire à l’hippodrome de la Baie. Le 14 février 2011, il passait le poteau en vainqueur trottant le Kilomètre en 1'17''2. Depuis le cheval a couru huit quintés et en a gagné quatre. Il trotte désormais 1’12, 1’13 selon les distances. Beaucoup de chemin a été parcouru depuis ses débuts sur les hippodromes de Rostrenen, La Gacilly, Dinan. Bien malin aurait été celui qui aurait décelé dans ses allures les promesses d’un petit crack.
Ru de l’Airou à Yffiniac entouré d’Alain Besnard, son épouse et l’entraîneur Patrick Martin
Les athlètes dans la foulée des pur sang
C’est désormais bien connu. L’hippodrome n’est pas exclusivement réservé aux courses de chevaux. Les bipèdes sportifs ont droit de cité. Les scolaires l’utilisent pour les compétitions de cross. Autres habitués, les organisateurs du Trail d’Yffiniac. Leur manifestation de printemps regroupe les fervents de la spécialité qui ont la possibilité de s’éclater dans la périphérie, sur des terrains très variés. La « promenade » s’étale sur des distances variant de 12 à 18 kms. Une formalité pour Gaël Le Bellec qui a laissé ses adversaires dans le lointain. D’entrée, l’ancien coureur cycliste avait opté pour le bon braquet.
Au départ, l’enthousiasme est intact
Gaël Le Bellec, frais et rose après une escapade dans le bois de Plédran
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Chaque année, la société des courses récompense ses bénévoles en leur offrant une soirée-animation. Chacun a eu la possibilité de s'en donner à coeur-joie, tard dans la nuit. Une partie du groupe pose pour la photo traditionnelle avant de passer à table et d'en découdre ensuite sur la piste.
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Le Blog de la société des courses ouvre une nouvelle rubrique faite d’échos divers recueillis sur l’hippodrome. Il faut y voir la proximité et la convivialité matérialisées par des rencontres inattendues. Un peu passéiste, voire ringard jugeront certains. De l’information à l’ancienne.. Peut-être. Mais comme votre serviteur bénévole n’est pas de la première jeunesse, il fait avec ce qu’il a et ce qu’il est.
Tyquaveron, la constance récompensée
Tyquaveron est un costarmoricain pure souche. Il a été élevé par la famille Lozach et Madame Le Bras demeurant respectivement à Senven-Lehart et Plésidy. Le cheval n’avait sans doute pas gardé un très bon souvenir d’Yffiniac où il avait été malheureux à deux reprises. Pourtant la troisième a été la bonne. Sa victoire ne souffre d’aucune contestation en dépit d’un terrain rendu pénible. Il est entrainé par Jerry Planque. Un ancien jockey reconverti en entraîneur reconnu, comme son collègue Pascal Journiac, vainqueur de la dernière course.
Trois membres de la société avaient des partants. Boathouse, une acquisition de Daniel Cherdo, a bien tenu sa partie en terminant deuxième. Paradis Gagné que nous avons distraitement nommé Pari Gagné ( pas totalement faux) a fait, de l’hippodrome, son Eden. Une quatrième place qui a satisfait Florian Renault, son propriétaire. L’inédit Aber, entraîné par Christophe Lotoux a fini honorablement, à la même place.
Tyquaveron (J.Charron) est surtout pressé de regagner son box
Rencontres
Bernard de Fonclare et René Bouteloup
Bernard de Fonclare a retracé, d’une plume alerte, la vie de Wladimir Hall, un entraîneur emblématique de la deuxième moitié du 20 ° siècle. Pourquoi parler de Saint-Brieuc ? Son héros Wladimir Hall, enfant d’une famille russe fuyant le régime soviétique a mis fin à une errance qui s’est terminée à Cesson où il a entraîné avec succès un certain nombre de gagnants durant quelques années. Il est parti ensuite dans la Sarthe à Crosnières.
Pourquoi René Bouteloup ? Parce qu’il a été le collaborateur assidu de W Hall et qu’à titre personnel, il a été un jockey d’exception digne de figurer parmi les plus titrés de sa génération. Un souvenir costarmoricain ? « Corlay évidemment. La même journée, j’ai gagné le Steeple avec Hélinda et le Cross avec Gottland. » Très diplomate, il ajoute « Yffiniac m’aurait plu. C’est un tracé régulier avec des obstacles corrects et surtout bien faits ».
Pour commander l’ouvrage sur Wladimir Hall, tapez le site Bernard de Fonclare et accéder au Bon de Commande.
Bernard de Fonclare (assis) en compagnie de René Bouteloup (à gauche) et des acheteurs du livre
Stade Briochin d'un autre âge
Mais que font ces trois anciens stadistes des années 60 sur un hippodrome ? Jean-Louis Le Chaux est assidu en tant que propriétaire. Jean Duval et Michel Brié sont évidemment ses fidèles supporters. Tous unis comme aux plus belles heures du Stade où Jean était le dernier rempart talentueux bien aidé par Jean-Louis ratisseur infatigable tandis que Michel, à l’allure déliée, défiait les défenses adverses. Aujourd’hui, ils s’en vont allègrement vers les 80 balais, avec une mémoire riche en souvenirs communs. Ca aide…
Les anciens Bleu et Or Jean-Louis Le Chaux, Jean Duval, Michel Brié
Au résultat, Mesdames
Le club de photo à plérin est connu pour son dynamisme. On ne se contente pas de rester figé dans le conformisme. Ces dames s'attaquent à la photo hippique avec un certain succès en dépit de la difficulté de la chose. Le Président a promis de matérialiser tous ces travaux par une exposition dans le cadre d'une réunion à l'hippodrome où ils seront accueillis bien volontiers. Le monde des courses ne doit rester cloîtrer dans ses chapelles surtout lorsque le profane tente d'y accéder par le biais de la création artistique.
Le verdict de la photo : assez bien mais peut mieux faire
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Les promesses du matin ne sont pas celles de l’après-midi. La matinée laissait augurer d’une journée assez clémente. Hélas ! Sur le coup de 13 h, la pluie doucha l’enthousiasme des turfistes. Après une accalmie, la réunion se termina dans la brume. A pareille époque de l’année, on pouvait espérer beaucoup. Soyons résignés. Le pire est, paraît-il, à venir.
Le Prix de Corlay décapité
C’était la principale épreuve de la journée. Suite à la chute d’un concurrent resté sur la piste, la course a été arrêtée, le plus logiquement du monde. L’épreuve recourue, ils ne furent plus que huit participants à reprendre le parcours, selon une allure modérée. Rien à dire sur le déroulement final.Tyquavéron venu en progression s’imposa devant Homme d’Affaires et Maxedy toujours pointés en bonne position.
Le Prix d’Auteuil a été marqué par la domination de Ultragold qui a repoussé les attaques conjuguées d’Upisland et d’Ulex à l’issue d’un beau final. Dans le Réclamer (haies), Good Evening a affiché sa supériorité de bout en bout. Saintwkiwi n’a pas rencontré d’opposition dans le steeple des 4ans. Ce qui est toujours rassurant pour l’avenir.
En plat, la victoire de l’inédite Bijou Plage a été très convaincante. De leur côté, Scheibenhard et Sainte-Fortuna ont dû s’employer afin de contenir, pour le premier nommé, l’assaut d’Appolo Eleven tandis que la pouliche s’est trouvée aux prises avec un groupe assez compact lancé à ses trousses. En pure perte.
Cavalier seul de Bijou Plage (T.Normand)
Good Evening ( M.Ney ) à gauche, a remporté un facile succès
Ultragold ( R.Delozier) prend ses aises au passage de la rivière
Sainte-Fortuna (A.Bernard) a vu sa tenacité récompensée
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Christophe Lotoux, entraîneur à Saint-Brandan, a dû composer avec les conditions météo qui ont retardé la préparation de ses chevaux. Certains sont plus faciles à mettre en condition physique que d’autres. Dans l’ensemble, « nous avons été retardé de 15 jours. Mais il est nécessaire de courir. » Demain, il sellera 3 pensionnaires dont les 3 ans Simarula et Aber. « Ils sont inédits. Faut voir. Aber, premier produit de First Elorn, sera orienté vers l’obstacle. Dans le Prix de Saint-Malo, Asturn Green rencontre un lot accessible. » Il aura comme adversaire Pari Gagné appartenant à Florian Renault de Trégueux. Lui aussi est dans sa catégorie comme Délicious entraînée par Stéphane Gouyette , de Corlay. La présence de concurrents du coin donne du piment à la course. Chaque écurie a évidemment ses supporters.
Une visite chez Christophe Lotoux nous a permis d’approcher de plus près une séquence d’entraînement. Les chevaux, avant d’entrer en piste vont se concentrer au rond où ils tournent au pas une vingtaine de minutes. Ensuite, ils rentrent en piste pour effectuer un canter terminé, pour certains, par un travail plus soutenu avant de revenir au rond pour un retour au calme. Puis ce sera la douche et retour au box. Leur journée est terminée. Sortis, nourris, blanchis, logés, la belle vie avant la compétition. Mais le plus difficile reste à faire, à savoir la vérité de l’hippodrome.
Concentration au rond
Yukatana -F.Lormelet, un duo tout à son travail
Stormy Océan en plein effort
Liblos, de son paddock, apprécie le boulot de ses congénères
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Dimanche, on revient au galop, à l’hippodrome.
La saison hippique débute réellement. Après les journées de trot hivernales et la réunion mixte, on revient au tout galop. Sept courses (plat et obstacle) sont au programme. Les conditions météo s’étant améliorées, les pistes seront présentées en bon état. Retardée par le mauvais temps, la préparation des concurrents va s’accélérant, ce qui est un gage de qualité pour le spectacle.
Et pour cause 95 chevaux ont été engagés, ce qui équivaut à une moyenne approximative de 14 concurrents par course. Un nombre suffisant pour contribuer à un spectacle de qualité.
Ils ont une chance
Prix de Saint- Cloud : Saint Olivier, Liquorice, Gaslight, Agnès Berry, Sensei Davis
Prix d’Enghien : Gobi, Good Evening, Roxapierre, Louping de Teillée, Afaryas
Prix d’Auteuil : Upsiland, Ultragold, Ulex, Un Jour Tu Verras, Ut du Reverdy
Prix de Longchamp : Boathouse, Eklips de l’Aube, Lucky Star, Belle Anna, Sainte Fortuna
Prix de Corlay : Delphes Eria, Maxedy, Trois Huit, Rosabi, Tyquaveron
Prix de Saint-Malo : Scheibenhard, Unabaa, Astur Green, Paris Gagné, Délicious
Prix de Clairefontaine : Korkovado, Noble Major, Saintkiwi, Label des Prés, Haka
Le galopeur : un heureux compromis entre l'esthétique et la puissance
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Le pourtour de l’hippodrome est sécurisé par une protection grillagée dont le but principal est d’empêcher les chevaux en liberté de prendre la clé des champs .Accessoirement il constitue une barrière pour les gros animaux fréquentant le bois voisin. Il y a l’homme aussi...
Dimanche un resquilleur s’est glissé sous le grillage. Il s’est fait cueillir par un commissaire qui lui a intimé l’ordre de passer à la caisse. « Pour 5 €, il a pris le risque de déchirer un vêtement de qualité ».
Un risque que ne prendrait un lapin soucieux de protéger sa fourrure très douillette par ces temps de froidure. Sauf devant la nécessité de fuir devant le renard. En l’occurrence, le commissaire, fin limier, n’a pas eu d’effort à cueillir sa proie qui, a foncé, tête la première, dans le panneau.Pas de quoi en faire un fromage. Mais l’histoire de l’arroseur arrosé fait encore rire. Sauf la « victime » , bien entendu…
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Le bras des hommes et les dents de la machine
La météo fait des misères aux bénévoles de la société des courses. L’entretien des pistes est un souci accaparant.
Les choses sont ce qu’elles sont. Il faut s’en remettre aux caprices du temps. Les professionnels en sont conscients et comprennent les difficultés des sociétés pour présenter des pistes de bonne texture pour les galopeurs. Après le passage des chevaux lors de la première réunion, les pistes ont souffert. Dimanche, la réunion est consacrée, dans sa totalité, à la discipline du galop. Pas question de laisser les pistes en mauvais état.
Alors on fait appel aux bénévoles. Ils répondent présents au petit matin. Leur rôle : boucher les impacts laissés par les sabots, la veille. Le rendez-vous se fait au lever du jour, dans la brume, noyant l’hippodrome. Les pistes sont gelées. L’eau de la rivière des tribunes est glacée. Sur le coup de midi, les trous ont été bouchés après trois heures de boulot. Place aux machines.
Sous le soleil
L’après-midi, le décompacteur va entrer en piste. Sommairement, son rôle consiste à soulever le sol et à le niveler. Les ouvriers de la première heure matinale goûtent la différence. La machine rend une piste aplanie grâce, en partie, au travail effectué par les bénévoles. Le soleil est là. Pas question de lambiner. C’est parti jusqu’à la tombée du jour.
Les bénévoles ne se posent pas de questions. 0n prévoit de la pluie en fin de semaine ? "Et alors ?" avance l’un d’eux. "Nous faisons ce qui est en notre pouvoir. Le beau temps ? Cela ne se décrète pas encore." Et de lever les yeux au soleil en souhaitant seulement que le ciel soit aussi clément, dimanche, qu'en ce bel après-midi du mois de mars.
A midi, une partie de bénévoles s'occupe de la rivière des tribunes toujours glacée
Sous le soleil retrouvé, le décompacteur va peaufiner le travail entrepris ce matin
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La persévérance de Sophie récompensée
Sophie Geffriaud est une jeune jockette pleine de promesses. Elle a conduit Vlad à la victoire dans le steeple final. Pourtant leur dernière association s'était soldée par une chute à Pau. Mais l'entraîneur Isabelle Pacault n'a pas hésité à faire confiance à Sophie Geffriaud pour une nouvelle tentative. Entre femmes, on se comprend sans doute mieux dans les circonstances contraires.
Souhaitons à Sophie de poursuivre sur la voie du succès et tous nos encouragements au malheureux jockey du cheval en liberté. Demain sera un jour nouveau.Cette reproduction illustre les péripéties de l'activité des jockeys de l'Obstacle. En l'espace de quelques minutes, la joie pour les uns, la désillusion pour les autres.
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Trotteurs et galopeurs ont réchauffé l’assistance
Un petit vent frisquet accompagné d’un soleil assez généreux a présidé à cette réunion mixte qui a connu une fréquentation passablement soutenue pour un début de saison n’incitant pas encore les turfistes à se rendre en nombre sur les hippodromes.
Sabanita sans opposition
Le Prix de la Société du Cheval Français n’a été qu’une formalité pour Sabanita qui a pris le train à son compte peu après le départ. Poursuivant sa route sans la moindre contestation, elle a rejoint le poteau d’arrivée en vivant sur son avance. Sire Pazenais s’assurait la deuxième place après avoir amorcé son effort dans le dernier virage. Spooler des Obeaux a remarquablement fini, en pleine piste devant Quelea de la Butte, assez pugnace et Querly du Gite qui a lutté courageusement.
Sabanita ( R Corbin ) gagnante du Prix de la Société du Cheval Français
Safhir d’Arembouy tout à la fin
La victoire du partenaire de N.Paysan est finalement méritée. Il fut le plus constant à mener la chasse derrière l’animateur El Tritonik qui avait pris un avantage important mais non définitif. Rejoint à 300m de l’arrivée, il céda le commandement au futur lauréat. Ce ne fut pas une formalité. Il dut contenir l’attaque de Resent Full. Celui-ci a commis une grosse faute à la dernière haie. Un accroc qui a profité à Sweet Morinière. Toque Rose prenait la quatrième place devant Cavadée.
Safhir d'Azembouy ( N Paysan), à droite, aux prises avec Resent Full, fautif. A gauche,Toque Rose
Plaisant succès de Tycoz de Lady
Son driver G. Salles lui a donné un parcours judicieux. Accélérant progressivement la pouliche a pris ses aises face à l’opposition. Ténor du Miennais a été le seul à vouloir lui contester la victoire. Malgré sa détermination, il n’a pu arriver à ses fins. La deuxième place lui est revenue assez facilement devant Temple du Chatelet qui n’a pas mal fini.
Tycoz de Lady(G Salles) facile gagnante du Prix de Trégueux
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Toque Rose, Les Rosiers : La vie en rose dans le Prix de Plédran ?
France-Galop ayant pris la décision de retarder de 24 heures la confirmation des partants, les galopeurs participant à une réunion ne seront désormais connus que le vendredi dans la matinée. Les trotteurs sont déclarés partants le jeudi et restent fidèles à la formule avérée qui plaît aux turfistes toujours empressés de connaître les concurrents.
Le Prix de Plédran réunit 15 hurdlers dont certains ont fait leurs preuves. On pense , en premier lieu, à Toque Rose, vue à son avantage à Cagnes et trouve un lot à sa portée. Ele portera le gros poids de la course. Resent Full ne doit pas être sous-estimé au vu des ses sorties très convenables à Pau et Auteuil. Les Rosiers a donné des garanties en progression, l'autorisant à se montrer un prétendant assez sérieux. Vainqueur sur ce parcours, Sweet Morinière a montré suffisamment de moyens pour faire partie des favoris. Par ailleurs, Saphir d'Azembouy doit être placé en tête des outsiders parmi lesquels Messire Fontenail, Voyage à Venise, Cavadee peuvent éventuellement agrémenter les rapports, le cas échéant.
Le Prix de la SDCF regroupe 18 chevaux répartis sur deux échelons. Partant au deuxième poteau, Spooler des Obeaux, récent vainqueur à Vire, peut être vu à son avantage sur ce tracé.On peut lui opposer Sire Pazenais, à la limite du recul. Plusieurs concurrents ont peu couru cette année. Ils restent sur des performances de l'an passé qui démontrent une certaine qualité. Sabamita, Samba Force, Prado, Rapide Tilly, Rituel de Faverol peuvent émettre des prétentions sans pourtant faire abstraction de leur niveau actuel dans leur préparation.
Le Prix de Trémuson (10 partants) s'adresse aux AQPS de 4 ans. A défaut d'expérience, ils peuvent posséder une qualité à découvrir. Valtor semble posséder une bonne chance face à Veni d'Oudairies, Vrac des Obeaux et Venus de Ré.Ils ont une chance
Prix de Plérin : Valdez de Miennais, Verseau d'Anpierre, Vesta de Hérel, Vaillant du Dormet, Valseur Galbe, Vif des Tithais
Prix de Saint-Julien : Sweet Chloe, She s My Lady, Grey Sea, Balmaha
Prix de Tregueux : Tornado Dream, Tunisio Bello, Terminus du Goden, Tony Gédé, Tycoz de Lady, Topaze de Madker
Prix de Plédran : Toque Rose, Resent Full, Sweet Morinière, Les rosiers, Voyage à Venise
Prix de la SDCF : Spooler des Obeaux, Sire Pezenais, Sabamita, Samba Force, Rituel de Faverol, Rapid Tilly
Prix de Trémuson : Valtor, Veni d'Oudairies, Venus de Ré, Vrac des Obeaux.
Dimanche 3 mars, réunion mixte, 6 courses ( 3 trot, 3 obstacles ) début des opérations à 14 h, restauration rapide, entrée 5€Le trot et le galop réunis pour un spectacle de qualité
Trotteurs et galopeurs associés dans la réussite de la réunion
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